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Je suis étudiante à l'UQAR, dans la belle ville de Rimouski (ville du bonheur et numéro 1 pour prendre sa retraite), et j'étudie en enseignement secondaire du français. Ce blogue est réalisé dans le cadre d'un de mes cours. :) :)

dimanche 16 octobre 2016

Parlons un peu de mon cours Approches du roman. Dans ce cours, ce qui est le plus notable, je dirais que c’est le nombre de mots que j’ai appris depuis le début de la session. Tous des mots qui n’avaient jamais effleuré mes oreilles auparavant : diégèse, hétérodiégétique, métadiégétque, paralepse, prolespe, analepse, incipit, clausule, digression, métalepse, focalisation, fonction mathésique (de la description), désignation par affectation, espaces éclatés, etc. Bref, vous voyez ce que je veux dire… hihihi. Je crois que cela fait que je trouve le cours intéressant, entre autres. Pour résumer ce que l’on voit dans ce cours, ce sont en fait toutes les composantes qui permettent et qui servent à analyser un roman. La narratologie, par exemple, est une approche formelle qui s’intéresse à la mise en forme du récit. Les termes cités plus haut constituent des éléments ou des notions que l’on rencontre quand on analyse des romans. Par ailleurs, il va sans dire que dans le cours Approches du roman, nous lisons des romans. Dans l’ordre, ce sont les suivants : Kamouraska (Anne Hébert), L’année la plus longue (Daniel Grenier), Les sangs (Audrée Wilhelmy) et Le vaillant petit tailleur (Éric Chevillard). Quoique je déplore la violence présente dans chacun de ces romans, je reconnais qu’on y retrouve notamment de beaux styles d’écriture. Finalement, j’aime assister aux cours et je saisis facilement le lien entre ce cours et ma future carrière d’enseignante, puisque le roman est l’un des genres littéraires vus au secondaire, durant lequel on y analyse également des romans en utilisant des notions du présent cours, mais évidemment nettement moins approfondies.

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